Le sexisme se cache dans les détails… Jusqu’à se loger dans la taille des poches des vêtements. Non, mais sérieusement ? Un article sur les écarts de traitement face au prêt-à-porter ? Eh oui, car derrière cette question des poches, il y a toute une histoire qui parle de liberté, d’indépendance et même d’objectivation du corps des femmes. On en parle !
Les toilettes, une question de genre ? On en parle !
En 2012, la 67è Assemblée générale de l’ONU décide de consacrer une Journée mondiale des toilettes, qui se tiendra tous les ans le 19 novembre. « Les toilettes sont petites mais puissantes » lit-on sur la page du site de l’organisation internationale qui fait résonner cet événement annuel avec l’Objectif de Développement Durable n°6 : Garantir l’accès à tous des services d’alimentation en eau et d’assainissement gérés de façon durable d’ici à 2030.
Il en va bien entendu de droit à l’hygiène et subséquemment, de prévention de nombreux risques de santé. Mais l’ONU évoque tout particulièrement l’enjeu de la condition des filles et des femmes au cœur de cette Journée mondiale. Mais pourquoi donc ?
C’est quoi, le syndrome Trinity ?
Imaginez que vous réalisiez un long-métrage. Un grand film d’aventure. Un futur blockbuster. Vous êtes conscient·e des inégalités de genre : pas question pour vous de présenter les personnages féminins comme des petites choses fragiles placées sous la protection de personnages masculins forts.
Non, vous avez créé un rôle de femme puissante, volontaire, forte en caractère et bien sûr dotée de compétences avérées sinon de superpouvoirs. Le film sort. La critique est dithyrambique. Mais quelques articles soulignent qu’hélas, vous êtes tombé·e dans le panneau du « syndrome Trinity ».
De quoi, de quoi ? On vous explique tout sur le syndrome de Trinity et sur sa transposition au « leadership féminin » en entreprises.
Les étoiles aux cuisiniers et les cuisinières aux fourneaux ? On en parle !
Le plus célèbre des guides gastronomiques ne compte qu’une triple étoilée (sur 29) et deux cheffes titulaires de 2 étoiles (sur 75) à l’heure actuelle. Pourtant, l’INSEE nous indique que 80% du temps de préparation des repas dans les familles incombe aux femmes. Il n’y a pas comme un problème ? Pourquoi donc la popotte quotidienne, c’est pour les mamans en tête à tête avec à la gazinière alors que les plats de fine gueule à l’addition salée, c’est l’affaire d’hommes entourés de toute une brigade ?
Pourquoi avons-nous peur du changement ?
Le changement, c’est la promesse de plein de choses excitantes : de la nouveauté, des améliorations de l’existant, des perspectives d’apprendre, des occasions de produire de la valeur… Nous le savons, nous sommes convaincu·es et sur le principe, nous sommes partant·es… Oui, mais voilà, quand il s’agit d’opérer le changement, nous nous découvrons bien plus résistant·es que nous l’imaginions. Mais pourquoi donc ?
Les investisseurs sont-ils piqués par le virus de la parité ? On en parle !
L’écosystème du financement des entreprises a connu une (pas si) petite révolution en 2022 : cette année-là, les fonds ont davantage investi en série A dans les start-ups ayant des équipes mixtes à leur tête que dans des start-ups dirigées par des équipes exclusivement masculines !
Le bon manager a-t-il une âme de bonne ménagère ? On en parle !
Vous n’avez pas remarqué qu’à l’oreille, les mots de « manager » et de « ménagère » se ressemblent ? Ce n’est pas le fruit du hasard, mais d’une étymologie commune : l’italien maneggiare, auquel on doit aussi le nom « manège » et le verbe « manier ».
Un concept à la loupe : l’audace
L’audace, c’est l’un de nos maîtres-mots, au Programme EVE ! Voilà plus d’une décennie que nous encourageons chacun·e à OSER davantage. Si cet état d’esprit d’audace transpire dans tous les contenus de notre webmagazine, il est vrai que nous ne lui avons pas encore consacré un grand papier de notre rubrique-phare : « le concept à la loupe ». Alors, la voilà, cette enquête approfondie sur l’audace !
Mais que fait la Mère-Noël pendant que le Père-Noël livre les cadeaux ? On en parle !
Manteau rouge, bedaine généreuse, tempérament exubérant et hotte chargée de cadeaux… S’il est une figure masculine de la bonhommie chaleureuse, c’est bien le Père-Noël. Mais dites-moi, ce ne serait pas aussi le visage d’une forme de patriarcat ? En tout cas, il y a du débat sur cette question-là !
Avez-vous le syndrome de l’infirmière au travail ?
On convoque souvent le « syndrome de l’infirmière » dans le champ des relations privées, pour désigner les femmes (principalement) qui auraient tendance à s’investir dans des relations intimes avec des personnes en souffrance dont elles se retrouvent à prendre soin, au risque d’installer durablement un déséquilibre dans le couple, voire des rapports toxiques. Mais le syndrome de l’infirmière s’exprime aussi dans le monde du travail. On fait le point sur cette question.