Après la « charge mentale », voilà qu’on entend de plus en plus parler de la « charge émotionnelle » qui elle aussi toucherait davantage les femmes. En quoi consiste exactement cette « charge émotionnelle » ? Est-elle si genrée qu’on le pense ? Et comment les organisations peuvent-elles s’emparer du sujet ? On en parle !…
C’est quoi, le gaslighting (ou détournement cognitif) ?
Avez-vous déjà eu le sentiment, face à une situation insatisfaisante, injuste, anormale voire franchement violente de ne plus savoir si vous étiez vraiment victime ou bien « seulement » en train de vous faire des idées si ce n’est de perdre complètement la raison ?…
C’est quoi le phénomène Baader-Meinhof ?
L’essentiel à savoir sur « l’illusion de fréquence ».
C’est étrange, depuis que vous avez appris que votre collègue …
C’est quoi l’effet Dunning-Kruger ? – Ou une autre façon de penser le « syndrome de l’imposteur »
Comment se fait-il que les personnes les plus compétences soient aussi celles qui ont le plus tendance au complexe d’imposture… Et inversement que les personnes les moins qualifiées sur un sujet soient les plus péremptoires quand elles donnent leur avis, voire les plus audacieuses quand il s’agit de s’en emparer ?
C’est quoi, l’effet Stroop ?
Si vous avez déjà joué au Color Addict, vous connaissez l’effet Stroop, sans peut-être savoir que c’est ainsi que l’on appelle l’interférence d’informations non pertinentes dans une tâche cognitive.
Changement de niveau 1 ou de niveau 2 ?
« Il faut que tout change pour que rien ne change » dit le personnage principal du roman et film Le Guépard, afin de rassurer ses amis aristocrates sur le fait que l’avènement de la République ne déstabilisera pas vraiment leur position dans la société.
La rétroaction, une mécanique au cœur de l’efficacité du feedback
Qu’est-ce qui fait qu’un feedback produit des apprentissages et des changements ? La rétroaction ! Mais c’est quoi, donc ? On passe le concept à la loupe.
C’est quoi, le syndrome Trinity ?
Imaginez que vous réalisiez un long-métrage. Un grand film d’aventure. Un futur blockbuster. Vous êtes conscient·e des inégalités de genre : pas question pour vous de présenter les personnages féminins comme des petites choses fragiles placées sous la protection de personnages masculins forts.
Non, vous avez créé un rôle de femme puissante, volontaire, forte en caractère et bien sûr dotée de compétences avérées sinon de superpouvoirs. Le film sort. La critique est dithyrambique. Mais quelques articles soulignent qu’hélas, vous êtes tombé·e dans le panneau du « syndrome Trinity ».
De quoi, de quoi ? On vous explique tout sur le syndrome de Trinity et sur sa transposition au « leadership féminin » en entreprises.
Pourquoi avons-nous peur du changement ?
Le changement, c’est la promesse de plein de choses excitantes : de la nouveauté, des améliorations de l’existant, des perspectives d’apprendre, des occasions de produire de la valeur… Nous le savons, nous sommes convaincu·es et sur le principe, nous sommes partant·es… Oui, mais voilà, quand il s’agit d’opérer le changement, nous nous découvrons bien plus résistant·es que nous l’imaginions. Mais pourquoi donc ?
Un concept à la loupe : la flexibilité psychique
La littérature sur les soft-skills en parle à tout bout de champ : la flexibilité mentale et psychologique serait la porte d’entrée de tous les autres savoir-être. L’idée n’est pas nouvelle : déjà dans les années 1930, Marie Jahoda mettait en évidence cette compétence parmi les fonctions latentes du travail. Aujourd’hui, la notion de flexibilité psychique est au cœur de l’approche ACT (Acceptance & Commitment Therapy) utilisée en thérapie mais aussi dans l’accompagnement des managers aux problématiques de changement.
Mais c’est quoi, au juste, la flexibilité psychique ? On passe le concept le concept à la loupe.