SNCF a reçu pour la troisième fois le label Top Employeurs France 2015, aux côtés de 58 grandes entreprises françaises dont La Poste, Castorama, RATP, Orange, Schneider Electric. Ce label a été décerné par l’organisme indépendant Top Employers Institute, le 16 février dernier.
L’organisme indépendant Top Employers Institute évalue les entreprises souhaitant être labellisées. L’évaluation porte principalement sur la qualité de l’offre des Ressources humaines, via un questionnaire sur :
- Les pratiques de rémunération et les avantages sociaux,
- Les conditions de travail
- La formation et le développement
- L’évolution professionnelle et la gestion des talents
- Les pratiques managériales
A travers cette certification, SNCF souhaite :
- Faire connaître et reconnaître la valeur de ses pratiques RH
- Valoriser son positionnement d’employeur de choix sur le marché du travail
- Développer l’attractivité de l’entreprise pour attirer les meilleurs candidats sur ses métiers
- Continuer d’enrichir son travail sur les politiques RH en s’inspirant des autres entreprises et en partageant ses bonnes pratiques
Jean-Marc Ambrosini
A l’occasion de cette troisième distinction consécutive, Jean-Marc Ambrosini, Directeur général délégué Cohésion & Ressources humaines est intervenu dans le Parisien :
« Notre attractivité porte notamment sur la richesse des métiers, les parcours professionnels, et la promotion interne comme outil d’ascenseur social. En 2015, plusieurs chantiers RH vont être initiés ou renforcés. L’accent est notamment mis sur la santé et la sécurité au travail, au travers d’un parcours de formation dont bénéficieront 10 000 managers sur 2 ans. Ce programme est emblématique de notre volonté constante de concilier la performance économique de la performance sociale. Il vise à renforcer le bien-être et la motivation des salariés. Une autre priorité de la politique RH s’inscrit dans la démarche d’efficacité industrielle. Il est impératif aujourd’hui d’optimiser les processus industriels pour gagner en performance et maîtriser les coûts. Pour identifier des pistes d’amélioration, les managers et salariés vont être fortement impliqués. La dynamique est celle de la co-construction des solutions, par exemple sur l’organisation du travail et de la production.«