Avec l’expression grandissante du besoin de sens, une notion monte en puissance : l’anti-utilitarisme. Brandi tour à tour par les défenseur·e·s du bien commun, les promoteurs & promotrices de l’égalité comme principe de justice, les puristes des droits fondamentaux, les fondu·e·s de développement personnel en quête de bien-être (voire du bonheur), des économistes qui contestent les modèles d’évaluation de la performance et des richesses créées, des philosophes appelant au renouveau de la pensée complexe, l’anti-utilitarisme mérite d’être défini… Et pour cela, sans doute faut-il commencer par cerner ce qu’est l’utilitarisme. On passe le(s) concept(s) à la loupe.

Les données 2020 sur les violences intrafamiliales et les féminicides sont tombées il y a quelques semaines. Il ressort comme leçon, entre autres questions à approfondir que la question vie pro/vie perso ne saurait s’arrêter aux frontières de la garde d’enfants ni la QVT aux promesses d’un cadre de travail conforme et agréable, mais qu’elle interroge en profondeur le rôle de l’entreprise dans les grands sujets de société. La rédaction EVE présente le bilan.

Durant ce mois d’août, la rédaction du webmagazine EVE vous propose de (re)découvrir une série d’articles phares parus dans les mois écoulés. Voici une sélection d’articles décryptant les données chiffrées à connaître pour penser l’inclusion au travail.

Leadership au féminin, entrepreneuriat au féminin, business au féminin, sport au féminin… Le qualificatif « au féminin » s’est imposé au cours des quinze dernières années. Mais aujourd’hui, l’expression fait grincer les dents de certain·e·s. Alors, faut-il en finir avec le « au féminin » ? On ouvre le débat.

Le 21 avril dernier, Le Fonds Arborus et Orange ont présenté la première Charte internationale pour une IA inclusive. Les premiers signataires sont Camfil, Danone, EDF, L’Oréal, Metro, Orange, Sodexo, et d’autres entreprises ont déjà suivi le mouvement. Découvrez les détails dans cet article !