Pour les un·e·s, c’est la fête du collier de nouilles ; pour les autres, c’est une rémanence de politiques natalistes (passéistes ?) ; pour d’autres encore, l’occasion de faire savoir que maman a de la charge mentale plein la tête et qu’elle aurait besoin de repos ; certain·e·s y voient une opération marketing qui n’a cependant pas que de mauvais côtés etc.
Mais pourquoi la fête des mères, marronnier parmi les marronniers, fait-elle donc tant parler ?