Qu’est-ce qui fait qu’un feedback produit des apprentissages et des changements ? La rétroaction ! Mais c’est quoi, donc ? On passe le concept à la loupe.
Le rire est le propre de l’homme… Et de la femme ? On en parle !
Quand François Rabelais dit « le rire est le propre de l’homme », on comprend bien entendu qu’il parle de l’humanité… Mais la question mérite quand même d’être posée : est-ce que femmes et hommes sont égaux face au rire ? Pour en avoir le cœur net, jetons un œil aux chiffres et à la littérature scientifique sur le sujet.
Pourquoi les poches des vêtements féminins sont-elles plus petites ? On en parle !
Le sexisme se cache dans les détails… Jusqu’à se loger dans la taille des poches des vêtements. Non, mais sérieusement ? Un article sur les écarts de traitement face au prêt-à-porter ? Eh oui, car derrière cette question des poches, il y a toute une histoire qui parle de liberté, d’indépendance et même d’objectivation du corps des femmes. On en parle !
Interview : Sophie Amarenco et Réjane Lacoste pour « Femmes et AVC »
Le programme EVE s’est intéressé à deux femmes leaders qui se retrouvent autour d’un objectif commun, prévenir et vaincre l’AVC chez les femmes.
Sophie Amarenco et Réjane Lacoste nous expliquent leur engagement autour de la campagne #Agir et le collectif Femme et AVC.
Pourquoi avons-nous peur du changement ?
Le changement, c’est la promesse de plein de choses excitantes : de la nouveauté, des améliorations de l’existant, des perspectives d’apprendre, des occasions de produire de la valeur… Nous le savons, nous sommes convaincu·es et sur le principe, nous sommes partant·es… Oui, mais voilà, quand il s’agit d’opérer le changement, nous nous découvrons bien plus résistant·es que nous l’imaginions. Mais pourquoi donc ?
Le bon manager a-t-il une âme de bonne ménagère ? On en parle !
Vous n’avez pas remarqué qu’à l’oreille, les mots de « manager » et de « ménagère » se ressemblent ? Ce n’est pas le fruit du hasard, mais d’une étymologie commune : l’italien maneggiare, auquel on doit aussi le nom « manège » et le verbe « manier ».
Il parait que les hommes fuient les métiers qui se féminisent. On en parle !
Selon une étude de l’Université de Zurich rendue publique en janvier 2023, quand les femmes investissent un métier, les hommes le quittent. Le phénomène n’est pas nouveau qui a vu les professions de juge, d’enseignant ou certaines spécialités dans la médecine se féminiser au point que la part des hommes y est désormais réduite à la portion congrue.
Selon les chercheurs qui ont conduit cette étude, on pourrait expliquer ces dynamiques de renversement du poids des genres dans les métiers par des réflexes de résistance à la mixité. Finalement, femmes comme hommes n’aimeraient pas tant que ça travailler ensemble ? On en parle !
Le sexisme dans la pub, on en parle ?
Peut-être suivez-vous le compte « Pépite sexiste » sur Twitter et/ou Instagram. En ce cas, vous aurez vu passer des campagnes de Saint-Valentin d’un goût discutable, une réclame pour des sachets de thé jouant sur les rôles genrés dans la parentalité, la bannière d’un site e-commerce assumant le stéréotype de la femme dépensière, une palanquée de visuels de jouets genrés et du biais en veux-tu-en-voilà dans les messages publicitaires. La publicité aurait-elle du mal à faire sa révolution anti-sexiste ? On en parle !
La place des femmes dans les start-ups
On place tou·te·s beaucoup d’espoir dans « la nouvelle économie » : nouveaux relais de croissance, nouveaux modes de travail, solutions innovantes pour la transition écologique, pour l’accès aux soins, pour la lutte contre la pauvreté… Mais que peut cette « nouvelle économie » pour l’égalité professionnelle et le leadership équilibré ?
La place des femmes dans les start-ups nous invite à réfléchir et à agir pour que l’ère de tech soit aussi l’ère de la mixité.
Un concept à la loupe : la charge écologique
Forgé par la sociologue Monique Haicault en 1984 et massivement popularisée par l’illustratrice Emma en 2017, le concept de « charge mentale » a désormais ses notions dérivées : on parle de « charge contraceptive » pour évoquer le fait que la prévention des grossesses non désirées repose principalement sur les femmes ou de « charge émotionnelle » pour dire la surexposition des femmes aux demandes affectives de leurs entourages (familial, professionnel, de voisinage etc.). Au chapitre des « charges cognitives », on parle aussi de plus en plus de « charge écologique ».
Mais de quoi s’agit-il exactement ? La rédaction du webmagazine EVE passe le concept à la loupe.