Sophie Lavaud, collaboratrice de Danone, est partie cette année à la conquête de l’EVErest…
Pour que toute la communauté des lectrices et lecteurs du blog EVE ait la chance de faire sa connaissance et de découvrir le concept de « followership » qui lui tient à coeur, l’équipe de MyDanone, plateforme de communication interne de Danone, nous a aimablement autorisé-es à reproduire cet article qui lui a récemment été consacré.
Au printemps dernier, Sophie Lavaud, alpiniste amateur, emportait avec elle le drapeau de Danone sur le toit du monde. Son objectif : venir en aide aux populations de l’Himalaya en les aidant à développer leur production agricole, leur permettant ainsi d’accroître leur autosuffisance.
Passionnée par la montagne, celle que l’on a surnommé « The 16 000 Lady » pour avoir escaladé deux sommets de plus de 8 000 m à 15 jours d’intervalle, est partie à la conquête de l’Everest.
Marraine de l’association Norlha, une ONG qui vient en aide aux populations himalayennes,, Sophie Lavaud a récolté des fonds grâce à un système de financement participatif, en fixant un prix pour chaque mètre qu’elle gravirait. Ces dons permettront de développer l’aide à la production agricole auprès des familles, notamment de la province défavorisée de Dhading, au Népal. Séduit par ce projet d’accompagnement des producteurs locaux, Danone a tenu à s’associer à cette aventure sportive et humaine.
Partie du Tibet le 4 avril pour affronter la face nord de l’Everest, c’est après une dernière ascension de nuit que Sophie s’est hissée pas à pas jusqu’au sommet, à 8848 m d’altitude, au petit matin du 25 mai. Dans des conditions extrêmes et sous l’œil du cinéaste et guide de haute montagne François Damilano, elle est allée puiser en elle des ressources qu’elle ne soupçonnait pas.
Se revendiquant comme une « suiveuse » en haute montagne, son expérience de consultante en transition de carrière et conférencière en motivation pour l’Institut futura21 lui a permis de se confronter au concept du followership. À l’image de la cordée, dont le premier membre a besoin des compétences de tous pour progresser, chaque leader a besoin de ses « suiveurs » pour avancer. C’est l’un des enseignements qu’elle partage désormais, quand elle ne grimpe pas sur les plus hauts sommets du monde.